Je n'ai rien à voir avec ces que vous qualifierai de Racailles. Je suis une fille simple, qui se dit bourrée de défauts. Je suis une fille qui peut se montrez sympathique, ouverte, un peu trop extravertie. Trop extravertie, qui n'a peur de rien et qui le montre bien. Je suis une femme qui adore croquer la vie à pleine dents comme si celle ci serait une pomme bien mûres. J'adore jouer, dans ce sens, je veux dire, j'aime bien faire semblant de faire quelque chose, en quelque sorte, j'adore jouer la comédie. Je suis une grande comédienne et mon côté extravertie passe par là le plus souvent. Je parle à tout le monde, et je suis toujours polie quelques fois un peu plus familières. Je tutoie après quelques minutes ou voir tout de suite. Je n'aime pas trop les formalités. Mais je nomme toujours les personnes par le nom et non par leur prénom, je le fais quand les personnes me donnent leur autorisation. Je chantonne toujours quand je me déplace, je suis souvent avec un casque autour du cou, j'adore la musique. Je ne peux pas vivre sans. J'écoute beaucoup de chansons de ma mère, elle a composé quelques chansons pour moi.

Mais j'ai une autre face, celle que l'on montre quand on veut survivre, quand on l'envie de vivre qui vous colle à la peau. Je suis alors sadique, complètement folle et un conseil ne restez dans mon chemin ou mon champ de tir. Je deviens violente et je perds la notion du temps. Ne me mettez pas dans cet état, sinon je ne donne pas cher de votre vie, croyez moi. Je peux paraître alors froide, le visage fermé et dépourvu de sourire quand celui ci n'est pas psychopathe. Je suis alors une bête furieuse comme si elle avait été enfermée depuis de nombreuses années et qu'elle venait de se réveillée et qu'elle avait décidée de se venger de ceux qui l'avait enfermé. Je ne me contrôle très peu et je ne mâche pas mes mots étant vulgaire et poussant des jurons que même le diable ne pourrait répéter.

J'ai rarement peur pour moi, car je sais me défendre, je sais très bien me défendre, même si je n'en n'ai pas l'air. J'ai fais multitudes d'arts martiaux alors je sais de quoi je parle. Je suis aussi très souriante sauf mes moments de fureurs extrêmes. Cela n'arrive que très rarement, mais vaut mieux prévenir que guérir comme l'on dit. Je ne suis pas bourrée de principes et de préjugés. Je suis juste simple et j'agis comme une jeune fille normale.

Même si normalement une fille de dix neuf printemps ne se promène pas avec de quoi tuer la première personne qu'elle croise. Et oui, je possède un bon vieux katana que j'utilise quand cas d'extrêmes nécessités. Je préfère les combats à main nue. J'entends déjà vos commentaires qui disent "mais ce n'est pas une fille, mais un monstre". Sachez que cela m'importe peu à quoi vous pensez, je peux vous paraître hautaine comme cela, mais j'ai appris à faire avec, voyez vous. Je vous préviens, je ne suis pas hautaine, ni égoïste, je suis juste refermée sur moi même et j'ai peur d'aimer ou d'avoir des amis. Car j'ai la peur de les perdre comme tout le monde.J'aime quelques fois être remarquée et laissez un place dans le coeur de quelqu'un. J'aime être belle et le prouver. Non, je ne suis pas comme tout le monde, je suis moi, je suis Yûlàïe Mizuki... 15 lignes minimum.

-Avez vous vu une jeune femme?
-Vous savez, j'en vois plein qui passe tout les jours devant mon magasin. Des belles femmes comme des moins belles.
-Je m'en fous de celles là. je vous demande une jeune femme d'environ un mètre soixante.
-Je vous dis que non...

Et l'homme s'en va. Sans savoir que sa perle rare, un mètre soixante et cachée derrière le comptoir de ce petit magasin. Une fois, sur qu'il soit parti, je me lève et retourne dans le magasin. Saluant le vieux monsieur et m'excusant pour la peine.
Oui, je suis une jeune femme, oui, je mesure un mètre soixante, je sais je ne suis pas grande. Je ne suis pas bien grosse non plus, je pèse à peine un soixantaine de kilogrammes, avec du plomb dans mes poches par temps venteux. J'ai de longs cheveux noir qui descente jusqu'à mes reins. Je me refuse de les couper, les tailler ou encore les charcutiers. Je ne peux pas, c'est comme ça. Je me suis souvent regarder dans la glace en maudissant mon visage, mes yeux hétéro chromiques, cette fichue couleur différente qui vous rends si inaccessible et si craint de tout le monde. Mes parents n'ont pas fait les choses à moitié, mes yeux sont la preuve même de leurs folies. Avoir l'un de vos yeux vert et puis l'autre d'une autre couleur, ici rouge. Vous change la vie à jamais. Bref...J'ai un nez droit et parfait, il n'est ni trop grand, ni trop petit pour mon visage, il est juste parfait. Parlons de ma bouche à présent,mes lèvres sont finie mais pas charnues, elles sont douces et jamais irritées. J'ai les canines supérieures un peu plus longue que la normale qui me donne des airs de prédateurs, ou encore de félins. Ma mère me disait que j'avais l'air d'une poupée, c'est peut être le cas? Je n'ai pas un teint pâle, j'ai le teint naturellement hâler sans l'être trop. Je bronze assez facilement. Pour le corps, il est plus formé que d'autre, je dirai, ce n'est pas facile quelques fois d'avoir un bonnet plus grand que celui de ces aînées. Je sais que je peux faire des jalouses avec mon bonnet D et de mes nonante-cinq(95) voir mes cents de tour de poitrine. Mais cela ne ma jamais vraiment déranger, je suis comme je suis après tout. J'ai le ventre plat et un percing orne mon nombril, il est simple, un rubis l'orne simplement. J'ai les jambes sculptées par mes années de travail dans mes sports. Mon corps est parfait pour quand il s'agit de se battre. Un corps svelte et félin. Je suis consciente que mon corps peut faire sur les autres et j'avoue que je l'utilise. J'utilise mes atouts pour me défaire de situations.

Passons à ce que je peux me mettre, ce que j'ai dans ma garde-robe. Je ne suis pas difficile et j'aime mettre des vêtements assez simple, mais quelques fois osées. J'aime les kimonos courts d'été, j'adore les jupes plissées qui ne couvrent pas mes genoux. J'aime les chemisiers, quelques soit les couleurs. J'aime les robes. J'aime plein de vêtements, mais je mets souvent les mêmes. Une jupe plissée noire, un chemisier blanc qu'on pourrait croire trop petit, un veston noir sans manche posée au dessus de ce dit chemisier, des hautes chaussettes blanches et de hautes bottes noires portant des lacets blanc. Mais je mets aussi des robes, la plupart courte noirs ou blanches assez proches du court. Bustier pour la plupart, Toujours les mêmes bottes. Des kimonos courts noirs et rouges, toujours avec ces même bottes. Je les aime ces bottes. Je ne sais pas m'en défaire et portant si vous savez ce qu'elles ont vu. Je mets aussi des talons simple qui vont souvent très bien avec ce que je porte. J'aime les couleurs sobre, et je ne mets que très rarement des couleurs telles le jaune ou encore le orange et encore plus rarement le vert pomme. 15 lignes minimum.

Une femme debout devant une fenêtre et qui se tient le ventre, c'est beau n'est pas? Oui, en plus d'avoir une belle image, cette femme est aussi très belle. Elle se nomme Yumiko, des cheveux noir tirant vers le violet foncé, longs très longs. Des yeux d'un vert à ne plus savoir vous détourné de ces yeux si pure. Elle est belle, elle était mannequin dans sa jeunesse, là elle a vingt six ans et attendant son seul et unique enfant. Elle tourne sa tête vers la cheminée où un feu brûle doucement.Il fait froid au dehors, moins quinze voir moins vingt, température normale pour un vingt cinq décembre. Elle avait passer noël seule, enfin pas vraiment.Elle se plisse et fronce les sourcils, elle sait que c'est pour maintenant. Elle sonne à son mari, son tendre et cher mari. Militaire pour son pays,le Japon. Il a dû malheureusement retourner en mission et ne sera pas là pour la naissance de leur petit ange. Elle se rappelle comment de temps, il lui a fallu pour qu'il accepte ce prénom si bizarre et unique qu'elle avait choisi et le temps qu'il lui avait fallu pour qu'il arrive à le prononcer. Un nom ni japonais ni italien, son origine à elle. Elle était heureuse que son enfant porte le nom de son mari: Mizuki. Cela lui redonnai espoir d'être encore heureuse. Quand elle entendit sa voix, elle éclata en sanglot cela faisait si longtemps. Elle ne pouvait pas l’appeler souvent. Elle lui dit que ça y était que c'était la fin et qu'elle allait à l'hôpital.

De son côté à lui. Takahiro est son prénom lui militaire qui avait tout pour lui. La beauté, c'est vrai qu'il était beau. Des cheveux blonds coupé à la brosse des yeux si bleus et pourtant si parfait. C'est du haut de ces un mètre nonante et un qu'il était tout heureux, il allait être papa. Et couru le dire à son supérieur qui était un ami d'enfance et qui affectionnait tout particulièrement. Celui ci tout heureux lui aussi, lui permit d'allez voir son ange. Comme il aimait dire, son joyau.

Un cri, des pleurs d'enfant, ça y est. Je suis née, un vingt six décembre à 00h02, des pas dans le couloirs qui courent une porte qui s'ouvre et une voix qui hurle de joie. Ça y est, il était papa. Il pleura de joie, ma mère aussi pleurai. Ils étaient enfin parent d'une petite fille nommée: Yûlàïe Mizuki. Ils ne fut pas dégoûté par les yeux si différent et pourtant. Mon père les adorait, il disait que c'était le ciel qui mes les avaient offert car il avait perdu un ange et que je devais en prendre soin. Même si quelques fois, il m'arrive de mettre un cache oeil, j'en suis fière car à lui.

J'ai grandi dans un quartier assez simple, où se retrouvait les jeunes au centre de jeux vidéo. Je ne me rappelle pas de ma tendre enfance, mais mon père voulait absolument que je sache me défendre afin de protéger ma mère quand il était absent pendant trop longtemps. Je vais dire que je n'ai jamais connu mon père correctement, souvent absent mais quand il était là, il s'occupait de nous. C'est grâce à lui qui je suis devenue comme je suis. Il me répétait sans cesse: "un soldat ne doit pas avoir peur". Ma mère était toujours souriante. Pendant mes 10 premières années de ma vie, je l'ai connu souriante et aimante. Puis un jour, je l'ai vue assisse en plein milieu du salon, le téléphone en main et les larmes coulaient sur ses joues si belle et si roses quand elle souriait. Elle avait lever la tête vers moi et avait murmurée: Papa ne rentra plus à la maison. Ce fut un choc pour moi, pourquoi nous avait il laisser seul, moi et maman? Elle qui était si malheureuse, mais nous remontâmes la pente difficilement. Ma mère reprit le travail et moi je dus subir les méchancetés que l'on me lançait à l'école. Vers l'âge de 15ans, je me suis lancée comme ma mère dans la musique, elle était auteur/compositeur et professeur de musique au conservatoire. J'appris donc avec elle, le piano et le violon. Puis sans elle, la basse et la guitare. Je pris quelques cours de batterie, mais je me lassa un peu vite de cet instrument, je savais déjà jouer de plusieurs et s'était suffisant. J'ai pris aussi des cours de chants,mon professeur adorait ma voix, qui est soit disant légère et pleine de vitalité. Et ma musique apporte la joie.

Les années suivantes fut pleine de bonheurs et je me montrai plus joyeuse et plus moi même au cours de ces années, j'avais trouver ma voie et j'étais pleinement moi. Je connu mon premier amour, les premières déceptions, vers l'âge de 17 ans. J'ai bien grandi depuis, je suis devenue plus mature et plus sur de moi.
Un jour de pluie, je reçu une lettre d'une académie nommée: Broken Flower. Ma mère et moi nous étions heureuse, car cette école était connue comme celle des élites. La meilleure des écoles, je fis donc mes valises pour débarqués. Mais mes espérances fut un peu détruite. Cela faisait une semaine que j'avais débarqué ici. Et un soir, un de mes aînés m’appela et puis le trou noir. Je me réveillai dans une pièce noire où je ne voyais absolument rien. Puis j'ai entendu une voix qui me disait fait le si tu veux rentrez dans notre académie.J'avais mon katana, l'arme que mon père m'avait offerte avant de partir pour sa dernière mission, puis cet "homme" qui avait tant rit de moi à la mort de mon père. On me donnai ma vengeance sur un plateau d'argent. Je rentrai doucement dans cette douce sensation qu'est la colère. Je lui lançai toutes les injures que je connaissais, lui disant combien c'était plaisant de pouvoir l'avoir ainsi à sa merci. Et c'est en enfonçant mon katana dans son coeur que je lui lâchai

-Un soldat n'a peur de rien...