Mizurei, que dire ? Cette fille est une vraie furie, elle tape pour un rien, si vous n'êtes pas d'accord avec elle, votre tête finira dans le sol, même si c'est un professeur, elle se fiche de qui c'est, celui qui y passe, tant pis pour lui, elle peut-être douce, gentille et attentionnée, comme elle pourrait être sadique, vulgaire et méchante comme une teigne, elle crie pour un rien, tape pour une rien, 'fin, une vrai folle en cavale [lol quoi...]
De nature généreuse, elle peut partager n'importe quoi enfin, ça dépend avec qui, elle peut être aussi très égoïste, quand il s'agit de chocolat, vous pouvez crever pour qu'elle vous en passe, même si ce n'est qu'un petit morceau, elle ne partage pas quand même.
Elle n'est pas bordélique, loin de là, elle est plutôt ordonnée, elle déteste le désordre, si elle voit une pièce en bazar, quand vous reviendrez, elle sera toute propre toute rangé. Elle raffole de la lecture, quand elle en a le temps, elle lit, pendant deux bonne heures, Mizu' préfère lire dans les lieux tranquille, comme dans sa chambre, ou bien la bibliothèque, ou bien dans les douches, sisi, elle ferait tout pour être tranquille.
Mizurei peut parlez de chose assez 'coquine', ça ne la dérangera pas, elle aime bien parler de ça, ce n'est pas une fille facile, alors quand on sort avec, si elle en a l'envie, elle peut faire n'importe quoi, même si ce n'est que l'histoire d'une nuit, elle s'en fiche, elle aime bien collectionner les personnes, puis les virer le lendemain, en laissant un petit mot du genre 'J'ai passée une très bonne nuit :oupas: mais maintenant j'm'en vais (: '
Mizurei est une grande sportive, même si on dirait plutôt une 'chochote', l'habit ne fait pas le moine comme on dit, elle court très vite, elle pratique différent sport, comme le judo et différents sports comportant des armes.
En résumé, Mizurei est une grosse brute sous ses airs de gentille fille.

Aaah, le physique... Mizurei et son physique...
Mizurei à un corps de 'jeune femme', une poitrine pas très développé, ce qu'on lui repproche souvent, elle à un corps fin, est un peux musclé niveau bras, elle fait au total 49 Kg, enfin ça varie entre les 48 et les 52 Kg quand elle mange comme une juive.
Ses cheveux sont vert émeraude, ils brillent de mille feux au soleil. Vous ne la verrez Jamais maquillée, elle déteste ça, dès qu'on se maquille, pour elle, on ressemble à rien, d'après elle elle rien ne vaut la beauté humaine sans tout ce fardeau qu'on appelle 'maquillage', néanmoins, elle adore se mettre du vernis à ongles de différentes couleur sur chaque doigts, du genre 'rose,vert,jaune,violet....'

Elle adore les vêtements trop grand pour elle, ça fais gamine, et elle aime ça, elle porte aussi des vêtements Sweet Lolita, ou bien Kawaii, eh bien oui, même si c'est une grosse brute, elle aime les vêtements mignon, mais elle ne met ce genre de vêtements que quand elle est seule, ou bien en compagnie de ses amis.
Sinon, elle porte une robe rouge et blanche à carreaux, ou bien, un short marron/noir, avec des collants avec des fleurs dessiné dessus ainsi qu'un t-shirt à rayures noir et blanc & des Doc Marteens.
Toujours en train de se promener avec son parapluie, elle ne s'en sépare jamais, elle la nommée Mei. Ce parapluie est jaune, le manche jaune foncé, avec des paillettes au bas du manches.

Quoi ? En plus de mon physique et de mon caractère tu veux mon histoire ? Faut pas exagéré ! Tu veux pas 100 balles et un mars aussi ? Bon d'accord, je vais vous la raconter...

Il y a 8 ans, je vivais chez ma mère et mon père, mon père battait jour & nuit ma mère, sous prétexte qu'elle n'était bonne à rien, juste une bonne à rien. Moi je restais dans ma chambre, j'avais peur de lui, il me faisait très peur, ses grand yeux qui dans la nuit brillaient d'un rouge vif vous fiches les chocottes. Il me tapais souvent, pourquoi ? Parceque d'après lui, j'étais une mauvaise fille, je ne valais pas plus que maman, j'étais juste un bout de viande... Maman restait toujours à la maison, à tout nettoyer, au risque de se faire taper, je l'aidais tout le temps, enfin, quand je le pouvais. Papa m'envoyait toujours chercher à manger, un jour, je suis revenue car j'avais oubliée les sous, je suis rentrée tout doucement dans la maison, et j'ai entendue maman criait, je suis arrivée en courant, j'ai poussée un peux la porte pour ne pas que l'on me voit, j'ai vue papa violer maman, elle criait qu'elle ne voulait pas, lui il disait que oui, et que si elle refusait, il ferait en sorte que je disparaisse, elle s'est laissée faire alors, j'ai vue des larmes coulaient sur ses pauvres joues, ses dents se serrées, des larmes ont commencés aussi à coulées sur mes joues, mes pupilles se sont rétractés, les larmes sont devenue abondante sur mes joues, je suis partit en courant puis j'ai fermée la porte tout doucement pour ne pas qu'on m'entende, je me suis laissée tomber par terre dans le couloir de l'appartement, je pleurais, je pleurais jusqu'a que je me dessèche, je me repassa longuement la scène ou maman pleure, pleure très fort et ou elle cris, je serra les dents, puis me leva et partit acheter ce que papa avait demandé.
Quand je reviens, je déposa les courses, maman vint me faire un câlin et me remercier d'avoir fait les courses, papa arriva puis me pris par le col de mon T-shirt, je ne savais pas ce qui se passais, je criais '-Lâche moi, lâche moi !! Maman !!' , il me mit une énorme baffe qui me fit littéralement m'écraser au sol, maman... maman, je... j'arrive plus à respirer, j'essaya de me relever, il me prit par les cheveux et me mis un coup de pied dans le ventre et m'envoya contre le mur, une giclée de sang sortir de ma bouche, je me pris la tête sur un meuble, papa il rigolait, il rigolait beaucoup, maman était contre le mur effrayée, je lâcha un aussi fort que possible :
'-Tu... n'es rien d'autre qu'un parasite ! Un parasite qui à pourrie ma vie ! La vie à maman ! Je te haie !' sur ces mots, je me releva pris la chaise près de moi, et tapa dans le genoux à papa, j'entendis un énorme craquement, puis un cris de douleur s'en suivit, il s'écrasa à son tour par terre, il disait des insultes, pleins d'insultes, je posa la chaise par terre et m'avança vers lui, mon regard avait changé, je me déplaça jusqu'a la cuisine, je savais que papa planquait un couteau, un énorme couteau de bouché. Ah ! Le voilà, je m'avança vers papa avec un sourire à vous glacé le sang, il pleurait, c'étais marrant, il me supplia, me dit mille pardon, je lui donna un violent coup de pied dans le visage, maman n'était plus là, je cria partout maman, mais difficile d'entendre quelque chose avec un homme qui gémit aussi fort qu'une truie, je pris son cou et lui égorgea sa gorge, une grosse giclée de sang est venue sur moi, je me leva et cria maman de tout les cotés de la maison, je me rendis vite compte que la porte était ouverte. Maman... tu m'as abandonnée ? Non impossible ! Pourquoi !? Dit moi pourquoi ! Qu'ai je fais pour avoir une vie si misérable ! Une vie ou tout le monde m'abandonne ! Je cria et pleura longuement. Les voisins s'en fichaient eux...

Aujourd'hui, des copains de papa doivent venir, j'entendit la porte sonnée, je regarda par le petit trou, et vit deux hommes, j'écarquilla les yeux, puis, partit en courant jusqu'a ma chambre et sauta par la fenêtre, je suis au 4ème étage pour tout vous dire, je m'accrochas à une branche du sapin qui était près du sol, puis je partis en courant, je ne savais pas ou allait, quand je passais près des gens, ils avaient pitiés de moi, d'autre carrément me jeter à coup de balai, je ne suis pas un monstre...
J'ai vécue dans la rue pendant 8 ans encore, mais j'avais un petit chien qui me tenait compagnie, je l'avais nommé Spirlight. C'étais mon meilleur ami, surtout celui qui compte le plus à présent pour moi. Mais un jour, des garçons sont venus me voir, l'un deux m'as pris par le bras, l'autre m'as pris l'autre bras, je ne savais pas ce qu'il se passait, le 3ème garçons avait mon chien, Spirlight dans ses mains, je cria en abondance, des '-Non lâcher le ! Je vous en pris !!', rien n'y fais, ils rigolèrent trois fois plus, un 4ème est arrivé, c'est le bouquet ! Il me prit le menton, et me chuchota quelque mots à l'oreille :

-Ose bouger chérie, ton chien... il sera transformé en un tas de boyaux !

Puis il rigola très fort, je pleurais comme quand mon père avez violer ma mère, je ne savais plus quoi faire, le garçon se rapprocha de mon corps, et glissa sa main sous ma jupe, je laissa échapper un petit cris. Je ne veux plus vivre ça, je n'en peux plus ! Je veux... je veux une vie meilleur !
Je pris mon courage à deux mains puis mis un coup de pied dans le ventre du garçon et mis à terre les deux autres qui me tenaient le bras, je me battue contre deux seulement, celui qui tenait mon chien le pris et le jeta au sol, je me retourna et voulut le rattraper mais l'un des garçons m'attrapa la jambe et je tomba, l'un d'entres eux pris Spirlight et lui arracha la tête d'un coup sec, vous-allez dire que c'est pas possible, et pourtant... Les garçons rigolèrent et partirent en courant, je m'approcha de Spirlight, les larmes au yeux, je le pris et l'enterra.

Quelque jours plus tard, un homme s'approcha de moi, je déteste les hommes, je les tuerai tous un jour... Il me tendis un mot, je resta perplexe, il me tendit aussi une batte, alors là j'étais encore plus perplexe, il me regarda puis prononça quelque mots :

-Alors, tue tout ses gens de la liste, et je te donnerai de l'argent. Marché conclus ?

-Euh... d'accord...

Je tua toute les personnes et je reviens à l'endroit ou je le rencontra, il me tendit une grosse sommes d'argent et m'indiqua un bâtiment, c'est qu'un bâtiment, une école pourrave pfff.
Je me dirigea vers cette école, la première semaine, c'étais bizarre, je me sentais tout le temps observait, souvent mitraillait de regard, je me suis même battue avec une bande de mecs, je l'ai ai tous battue, que des tapettes. Le lendemain, je sortit d'une salle et sentit une seringue se plantait dans mon cou, je voulus l'enlever mais je m'endormis.
Quand je me réveilla, j'étais dans une salle noir, une lumière s'afficha devant moi, ce qui me fit mal au yeux, mes rétines sont pétés là je crois. Je vis une femme, une femme grande à forte poitrine, je la regarda longuement, puis elle me tendit une hache, je la regarda avec un air qui voulait dire 'pourquoi faire ?', elle montra un garçon du doigts, je le reconnais, c'est celui qui à passais sa main sous ma jupe, un 'tue...le' s'échappa de la bouche de la femme et s'en suivit un ricanement, je m'approcha du garçon, il me supplia, il pleurait et s'excusa, un grand et sadique sourire s'afficha sur mon visage, je lui mis un coup de hache dans le bras, il geulait, c'étais trop drôle ! Je continua à le mutiller, à le faire souffrir, il supplia une dernière fois, puis je lui trancha la tête. Je rigola longtemps.... On m'as félicitée, j'étais heureuse de l'avoir tuer...

Voilà ça vous à suffit mon histoire ? /CAYUNPAVEEDESOLEMAISJAVAISBEAUCOUPDINSPIRATION8D/